Squareness, conseil financier spécialisé en due diligence, évaluation et performance opérationnelle annonce l’ouverture d’un nouveau bureau à Lyon et le lancement de son activité Restructuring avec le rachat d’Advance Capital Recovery. Son fondateur, Maxime Mazuy, intègre les équipes de Squareness en tant qu’associé et pilotera le bureau de Lyon.
Présent à Paris, Marseille et maintenant Lyon
Cette acquisition constitue une étape importante dans la stratégie de croissance de Squareness. L’année 2019 a été riche en évènements avec le cinquième anniversaire de sa création, le début de son développement en région avec l’ouverture du bureau de Marseille en mai 2019 et enfin, le lancement de l’activité Restructuring avec le rachat d’Advance Capital Recovery et l’ouverture de son 3ème bureau à Lyon.
Pour développer et piloter cette nouvelle activité sur la région Auvergne Rhône-Alpes et sur l’ensemble du territoire, Maxime Mazuy, fondateur d’Advance Capital Recovery, rejoint ainsi les équipes de Squareness en tant qu’associé, motivé par une « envie de m’appuyer sur un acteur reconnu et partageant les mêmes valeurs que moi et me permettant de réaliser un projet plus large avec une ouverture sur d’autres métiers : TS, Performance Opérationnelle et Evaluation, à construire en région Auvergne Rhône-Alpes » nous indique l’intéressé.
Reconnu sur la place lyonnaise, Maxime Mazuy est spécialisé dans le conseil aux entreprises en difficulté et a réalisé à ce titre plus d’une centaine de mission. Âgé de 36 ans, Maxime Mazuy est diplômé du Master Evaluation et Transmission d’entreprise de Lyon 2, et a notamment été formé dans les équipes lyonnaises de EY, Eight Advisory, puis Mazars pendant plus de dix ans, avant de fonder Advance Capital Recovery.
Squareness pourra ainsi s’appuyer sur son expérience pour renforcer ses positions sur l’activité Restructuring dans toute la France. « La présence de Squareness à Paris est un point important, je vais pouvoir m’appuyer sur les équipes de Paris pour développer le Restructuring en IDF » nous confie Maxime Mazuy. Son équipe composée aujourd’hui de trois personnes devrait continuer à s’étoffer progressivement jusqu’à atteindre cinq/six personnes d’ici la fin d’année.
Une acquisition qui répond à un double objectif
Cette acquisition répond à un double objectif. D’une part, développer la palette de compétences de Squareness en intégrant l’activité Restructuring, d’autre part, étendre sa présence au niveau régional sur l’ensemble de ses métiers, par l’implantation d’un nouveau bureau à Lyon. En plus de l’offre Restructuring, les entreprises et fonds d’investissement de la région Auvergne Rhônes-Alpes pourront aussi bénéficier du savoir-faire de Squareness en due diligence, évaluation et performance opérationnelle.
Par cette opération, Squareness témoigne de sa volonté de nouer une relation de proximité avec ses clients. « Nous poursuivons notre stratégie de développement tout en restant fidèles à une de nos valeurs fortes : la proximité client. En travaillant en synergie, les équipes de Lyon et Paris apporteront une réponse de qualité à nos clients avec une grande proximité locale. Notre ambition est de devenir un acteur de référence sur l’ensemble de nos métiers dans la région Auvergne Rhône-Alpes », poursuit Frédéric Meunier.
L’international comme objectif
Le conseil financier, qui a réalisé 3 M€ de chiffre d’affaires consolidé l’an passé, en croissance de 30 %, voit aussi plus loin. « Nous nous pencherons sur le sujet de l’international d’ici deux à trois ans pour renforcer nos positions en Europe, mais aussi en Asie et en Afrique », indique Frédéric Meunier, fondateur de Squareness. Membre d’un réseau non intégré mais très dynamique en termes d’interconnexions (IR Global), Squareness travaille déjà régulièrement avec une dizaine d’ETI ayant des projets d’acquisitions hors de France. Son équipe bénéficie, en outre, d’un historique assez fort dans les opérations initiées en France par des acteurs américains ou européens. « Nous sommes ouverts à l’idée de rejoindre un réseau intégré ou bien à celle de nous associer à des partenaires locaux dans certains pays », précise Frédéric Meunier.
Par Cyprien de Girval